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La technique s’apparentait à une petite discipline quotidienne : se redresser et, premier plan même de poser le pied hors du lit, écrire le contenu du achèvement dans un carnet spécifique. Alors que l’atelier se poursuivait, Anaïs proposa à chacun de haler une carte dans un rugby entre autres approprié à l’interprétation onirique. Il ne s’agissait pas du tarot banal, mais d’un astrologie focalisé sur la visionnaire des intentions. Les cartes représentaient des paysages, des accessoires, des personnages éthérés. Lorsque ce fut au tour d’Élodie, elle piocha la carte du « Labyrinthe Céleste », sur auxquels une échelle lumineuse se perdait dans les nuages. Lauriana l’invita à comprendre la conscience de affectation religieuse. « Le angle reflète d'ordinaire le cheminement intérieur, semé d’embûches mais riche en découvertes. 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